Entre votre explication des raisons pour lesquelles les camions américains ont un long capot, les dessous de la nourriture industrielle ou du make-up, plusieurs sujets traités concernaient les États-Unis… Seriez-vous américanophile ?
David Castello-Lopes : J’avais pris mes billets pour y passer mes vacances, quand on m’a proposé cette chronique. Je me suis dit que je rendrais visite à mes cousins et en profiterais pour tourner quelques sujets. Je vous rassure, je ne m’intéresse pas qu’à des « choses » d’Amérique. J’ai aussi tourné un sujet sur le vinaigre, pour lequel je me suis rendu à Modène, en Italie, et un autre sur les silures dans la Seine.
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On vous présente comme un humoriste, mais ce n’est pas une étiquette qui vous convient…
Oui, je suis journaliste. Ce qui me guide, c’est la curiosité. Je me pose des questions, petites parfois, mais qui m’obligent à aller chercher des réponses qui peuvent être compliquées à trouver.
Après Authentique, vous présentez un one-man show nommé Délicieux, qui tourne autour du plaisir… Votre univers pourrait-il un jour se décliner sur grand écran ?
Je suis passé de chroniques qui duraient 6-7 min à un spectacle d’1 h 30. Pour moi, c’est une grande réussite. Pour un film, je ne dis pas non mais… peut-être ?
28 minutes, à 20h06 sur Arte