Alors que le comédien Lucas Bravo s’est récemment illustré dans la série de Nicolas Maury, Les Saisons , où il donne la réplique à Stéphane Caillard et Abraham Wapler dans une histoire d’amour qui s’étend sur 30 ans, l’acteur, qui a également joué dans le long-métrage de Mélanie Laurent Libre , sera ce jeudi 18 décembre à l’affiche de la nouvelle saison d’ Emily in Paris .
Lucas Bravo revient sur sa grande notoriété suite à Emily in Paris
Invité avec son père dans l’émission Clique , l’acteur de 37 ans est revenu sur son parcours et sa filmographie. Interrogé par Mouloud Achour, il a évoqué l’explosion de sa notoriété lors de la mise en ligne de la toute première saison sur Netflix il y a quelques années. Lucas Bravo a alors expliqué : " À l’époque, j’étais à Budapest en train de tourner un film qui s’appelle Mrs Harris. C’était mon premier film, qui découlait de ça, et comme c’est (Emily in Paris) sorti en une nuit… Le lendemain, je me suis réveillé en sortant de l’hôtel, et il y avait une quinzaine de personnes qui m’attendaient. C’est arrivé très vite. Je pensais qu’il y aurait quelque chose de graduel, ou que dans les deux mois qui viennent, on m’aurait peut-être reconnu une fois ou deux dans la rue. Mais ça a été vraiment dès le lendemain, quand je suis sorti endimanché pour aller me balader. Ça m’a un peu agressé au début, parce qu’on a l’impression qu’on doit être à la hauteur de la promesse… " a-t-il tenté d’expliquer avant d’analyser : " Quand quelqu’un vient vous chercher ou fait l’effort de sortir de chez soi pour aller à votre rencontre, on a l’impression qu’on doit valoir la peine de cet effort. Moi, je suis un peu introverti… ".
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Le père de Lucas Bravo, Daniel était invité dans l’émission et a expliqué : " Nous, on était contents qu’il ait cette réussite parce qu’on a suivi son parcours et on sait qu’il s’est accroché pendant des années qui n’ont pas été faciles, où il a eu des petits boulots, où il faisait des castings, où ça ne marchait pas toujours. Et le fait que ça se concrétise avec quelque chose d’assez énorme, internationalement, on s’est dit : voilà, ça a fini par payer et il a eu raison d’insister. Nous étions contents pour lui. "