Un rendez-vous très attendu. Le jeudi 27 novembre, France 2 diffuse un Complément d'enquête entièrement consacré à CNews : " Entre succès d’audience, débats musclés et dérapages : CNews, la chaîne d’information en continue la plus regardée de France est aussi la plus sanctionnée du paysage audiovisuel ", annonce le magazine dans sa bande-annonce. De son côté, Pascal Praud préfère prendre avec le sourire cette soirée où on risque de beaucoup parler de lui : " On souhaite à nos amis de France Télévisions qu’ils fassent une bonne audience ", a lancé le journaliste dans son émission L'heure des Pros . " C’est la rançon de la gloire. Si vous ne voulez pas être attaqué, vous ne faites pas de la télévision, vous ne vous mettez pas en première ligne. "
Pascal Praud n'a pas peur du Complément d'enquête sur CNews
Par la suite, Pascal Praud a néanmoins mis en garde France Télévisions : " S’il y a diffamation, nous porterons plainte. " Toutefois, le visage de CNews reste très serein. " Même si je ne pense pas qu’il y aura diffamation. Ils n’iront pas jusque-là. Ce sont des attaques. Personne n’est dupe. Le téléspectateur est intelligent. Il se fait son opinion et puis, il choisit la chaîne qu’il veut. La meilleure réponse, c’est l’antenne. "
Le journaliste n'a pas répondu à l'émission
Au mois de mars dernier, Pascal Praud s'était montré ferme après avoir été contacté par les équipes de Complément d'enquête . Le journaliste s'en était pris avec véhémence au magazine : " Il y a une chaîne qui m’a contacté, et je leur ai dit que je ne leur parlais pas. Je crois que c’est Complément d’enquête, qui prépare un magazine sur CNEWS. Je connais leur reportage, je peux écrire leur reportage ! Je peux vous dire ce qu’ils vont sortir. Ils vont sortir une image avec Claire Nouvian il y a six ans, ils vont sortir une autre image avec Caroline Mecary et Camomille ! Je peux vous dire le sujet qu'ils vont faire, voilà, ils vont sortir ces trois-là, ils vont trouver quelqu'un qui, dans le noir, (va dire) 'Pascal Praud il a pas été gentil avec moi en 1982'... Je connais leur reportage ! Il est écrit ! "