Le Kazakhstan comme terrain de jeu
C’est la première fois que les équipes de Pékin Express pénètrent sur ce territoire, neuvième plus grand pays du monde (5 fois plus vaste que la France). « On avait voulu y aller dès la première saison, en 2006, mais le gouvernement avait refusé le tournage », se souvient Stéphane Rotenberg . Les candidats parcourront le sud de ce pays d’Asie centrale. Ils auront l’occasion de traverser des paysages magnifiques et variés, entre montagnes enneigées et routes totalement gelées. En plus des conditions extrêmes, ils vont être confrontés à la barrière de la langue : sur 20 millions d’habitants, en majorité russophones, à peine 18 % parlent anglais.
À lire également
Pékin Express, la route des glaces : Découvrez les 8 binômes de la saison 21 ! (PHOTOS)
8 binômes mis à rude épreuve
Lorsqu’ils ont passé le casting, les candidats n’avaient pas la moindre idée de ce qui les attendait. « L’accueil a été immédiatement très favorable quand ils ont su qu’ils allaient participer à quelque chose de nouveau », se réjouit Thierry Guillaume, producteur du jeu. Cette année, 8 équipes se disputeront la victoire : Claire et Éric , « les fiancés belges », Fabien et Missak , « les collègues aides-soignants », Francis et Philippe , « les papys motards », Hélène et Catherine, « les nounous d’enfer », Kévin et Sophie , « le couple de Carcassonne », Nathalie et Charlotte, « les mère et fille volcaniques », Sonide et Raphaël, « les soeur et frère complices », sans oublier le duo d’inconnues formé par Lyçaona et Marianne .
Une première dans l’histoire du programme
Jamais, dans l’histoire du jeu, une édition ne s’était déroulée dans des conditions aussi extrêmes. « M6 insistait depuis quelques années pour faire une saison thématique », confie Stéphane Rotenberg, qui n’était pas très chaud à l’idée de se lancer dans une telle aventure. « On savait que ça allait être très difficile, et on redoutait un peu, mais on a fini par accepter. »
À lire également
Un tournage extrême
Afin d’éviter des complications graves, de nombreuses précautions ont été prises lors de ce tournage particulier. « Nous, on a l’image du froid que l’on peut avoir au ski, mais c’est très différent, raconte Stéphane Rotenberg. Passé -20 °C, il faut respirer à travers une écharpe, sinon vous vous brûlez le palais. Vos larmes gèlent, vous avez des cristaux dans les yeux, vous commencez à vous engourdir… Il y a quantité de techniques qu’il faut absolument maîtriser pour lutter contre tout ça. » De quoi faire presque regretter au présentateur de 58 ans les chaleurs extrêmes qu’il a pu connaître lors des éditions passées : « Il est bien plus difficile de s’adapter au grand froid qu’à de fortes chaleurs, définitivement ! »
Pékin Express, vendredi 7 novembre à 21h10 sur M6