Olivia Ruiz marquée par l’après Star Academy : cette remarque qui l’a traumatisée à ses débuts

Sortir d’une aventure telle que la Star Academy n’est clairement pas une mince affaire. Car si les candidats ont été médiatisés pendant plusieurs semaines, ils doivent, une fois sortis du château de Dammarie-les-Lys, faire parler d’eux par eux-mêmes en dévoilant leurs propres compositions musicales. Et si certains ont rapidement réussi à faire parler d’eux, d’autres, ont été confrontés à de véritables impasses. Cela a d’ailleurs été le cas d’Olivia Ruiz qui, lors d’un entretien accordé à Gala ce jeudi 17 juillet, a partagé de rares révélations sur le sujet …

Olivia Ruiz marquée par l’après Star Academy : " Il ne faut pas qu’elle s’étonne... "

Pour cause, d’après ses révélations, peu de temps après sa sortie de la Star Academy , la chanteuse avait alors estimé qu’elle ne bénéficiait pas de la même promotion que ses anciens camarades. Et lorsqu’elle en avait référé à qui de droit, elle a alors été confrontée à la dure réalité. " Après la Star Academy, alors que je voulais savoir pourquoi il n’y avait pas trop de promo autour de mon premier single, une nana qui travaillait sur le projet pour la maison de disques m’a lancé : 'Il ne faut pas qu’elle s’étonne, la gamine, elle a voulu faire du rock alternatif. Elle n’avait qu’à faire de la variété comme les autres candidats' ", s’est-elle ainsi souvenue. Une prise de parole que l’artiste n’a jamais réussi à oublier.

Olivia Ruiz se livre sur ses débuts " un peu durs "

Toujours lors de ce même entretien, Olivia Ruiz a ensuite continué ses révélations, expliquant qu’après sa sortie de la Star Academy , elle a également reçu de nombreuses " remarques désagréables " sur son accent. Autant de commentaires négatifs qui l’avaient alors beaucoup affectée. " Un peu dur, quand on a 21 ans, que l’on débarque d’un jeu où on n’a rien compris à ce qu’il nous arrivait, qu’on est célèbre mais seule à Paris avec toute sa famille à 800 bornes ", a-t-elle ainsi analysé. Avant de conclure : " Et puis… on s’endurcit. "