Audrey Crespo-Mara : la veuve de Thierry Ardisson est poursuivie en justice à cause de son documentaire

C’est un coup de massue pour la journaliste. Le 14 juillet dernier, Thierry Ardisson s’est éteint à l’âge de 76 ans après un long combat contre un cancer du foie . Un décès qui a fortement fait réagir de nombreuses personnalités issues du paysage audiovisuel français, mais surtout la journaliste Audrey Crespo-Mara (avec qui l’homme en noir était marié depuis 2014). Afin de saluer la mémoire de l’homme de sa vie, la mère de Lamine et Sekou Crespo-Mara lui a d’ailleurs dédié un documentaire, intitulé : La face cachée de l'homme en noir – diffusé sur le petit écran quelque temps seulement après la mort de son époux. Une adaptation qui lui a valu d’être attaquée en justice…

Audrey Crespo-Mara : pourquoi est-elle poursuivie en justice ?

En effet, comme l’ont révélé nos confrères du magazine Closer , dans leur édition du vendredi 19 décembre, une séquence du documentaire réalisé par Audrey Crespo-Mara n’a clairement pas fait plaisir au photographe Roberto Battistini. Car après visionnage de cette adaptation, ce dernier a alors accusé la journaliste d’avoir utilisé l’une de ses œuvres (une photographie de Thierry Ardisson, en l’occurence) sans son autorisation. À ses yeux, l’utilisation de sa photographie constitue une atteinte à ses droits d’auteur. Et il faut avouer que même ce même cliché a déjà fait polémique par le passé.

Thierry Ardisson : zoom sur l’histoire de cette photographie

Pour cause, dans son documentaire, Audrey Crespo-Mara raconte que Thierry Ardisson n’avait pas apprécié qu’une photographie capturée par Roberto Battistini en 1986 soit parue en couverture du magazine Médias et marque les esprits. Il s’agissait d’un shooting photo au cours duquel l’animateur était habillé d’une redingote sombre et avait l’allure d'un " artistocrate provocateur " – ce qui n’était clairement pas à son goût. Dès lors l’animateur avait tout faire pour empêcher la publication de cette même photographie. Malheureusement, il n’y est pas arrivé, car le numéro de ce magazine est bel et bien sorti avec ce fameux cliché.