Marlène Schaff , la professeure d'expression scénique de la Star Academy a poussé un coup de gueule ce mardi 4 novembre contre les critiques sur sa bienveillance envers les candidats.
"Cela en dit plus sur vous que sur moi" : Marlène assume sa pédagogie
Depuis trois ans qu'elle officie au château de Dammarie-les-Lys, Marlène Schaff a vu son rôle évoluer au sein de la Star Academy . Arrivée comme répétitrice aux côtés de Lucie Bernardoni lors du grand retour de l'émission culte de TF1 en 2022, elle occupe désormais depuis un an la fonction de professeure d'expression scénique , succédant à Cécile Chaduteau. Une quarantaine d'élèves sont ainsi passés entre ses mains bienveillantes. Cette année, elle assure chaque samedi ou dimanche le débrief avec la promotion 2025, qui a intégré l'école il y a trois semaines. Des nouveaux candidats dont les performances en live sont encore à perfectionner. Et si la chanteuse professionnelle n'hésite pas à leur faire des retours francs, elle privilégie une approche bienveillante qui ne fait manifestement pas l'unanimité sur les réseaux sociaux.
Ce mardi 4 novembre, visiblement lassée que ses conseils et analyses soient mal interprétés, Marlène Schaff a décidé de monter au créneau pour défendre ses méthodes d'enseignement. " Le problème avec Marlène, c'est qu'elle est trop gentille" , une critique qui revient régulièrement après les débriefs de la musicienne . En légende d'un selfie publié sur son compte Instagram - précisant au passage " PHOTO SANS FILTRE!" - elle s'est adressée directement aux internautes avec des mots inhabituellement tranchants pour cette professeure d'ordinaire si posée.
"Permettez-moi de penser que cela en dit tellement plus sur vous que sur moi" , lance-t-elle d'emblée. " Je suis navrée que vous ayez été habitués aux coups de bâton, et j'espère que ce n'est pas un esprit vengeur qui vous pousse à vouloir continuer le cercle vicieux de l'apprentissage par l'humiliation".
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La professeure poursuit en expliquant sa démarche : " J'ai accepté de participer à la Star Academy, pour montrer que 'Le talent sans travail n'est qu'une sale manie' (G. Brassens)" . Forte de son expérience , elle rappelle : " En 15 ans d'enseignement auprès de milliers d'artistes, étrangement, jamais aucun d'eux ne m'a reproché de l'accompagner avec trop de bienveillance".
Deux types de pédagogues : "Ceux qui brisent, et ceux qui élèvent"
Dans son message, Marlène Schaff établit une distinction fondamentale entre deux approches pédagogiques qu'elle a personnellement connues au cours de sa formation : " Personnellement j'ai connu 2 types de pédagogues : ceux qui se gaussaient de l'effet de leurs moqueries, et qui généraient aigreur et honte chez les élèves soumis à leur autorité. Et ceux qui portaient, en donnant confiance et en offrant des outils utiles. En bref, ceux qui brisent, et ceux qui élèvent".
Cette réflexion fait écho au changement de cap opéré par la production de la Star Academy depuis le lancement de la nouvelle version en 2022. Terminées les humiliations et les débriefs musclés d'autrefois, la nouvelle formule tend à arrondir au maximum les angles. Néanmoins, l'enseignement n'en demeure pas moins exigeant.
"La gentillesse et l'empathie ne sont pas des faiblesses, mais des choix", affirme Marlène Schaff avec conviction. " Mon but est d'être juste, d'accompagner et de faire progresser. J'ai la prétention de croire, au vu des résultats des artistes avec qui j'ai travaillé jusqu'ici, que je peux rester gentille ", conclut-elle.
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Une liberté totale face aux soupçons de contrôle de la production
Au-delà des critiques sur sa bienveillance, Marlène Schaff doit également faire face à d'autres rumeurs circulant sur les réseaux sociaux. Certains internautes ont en effet insinué dans les sections commentaires des publications de la Star Academy que ses débriefs seraient pilotés par la production. Une accusation que la professeure d'expression scénique a démenti net.
Dans les colonnes de Ciné Télé Revue en kiosque le 27 octobre 2025, Marlène Schaff s'est défendue de tout contrôle : "J'ai une liberté totale" , a-t-elle affirmé fermement, balayant tous soupçons d'un revers de la main. " Je dis absolument tout ce que je pense et aucune de mes interventions n'est dictée par la production. Je ne pense pas aux images qui seront diffusées dans la quotidienne. Ce n'est jamais évident pour les élèves de se voir à l'écran. C'est encore plus difficile devant ses camarades à la télé".
Mais ce n'est pas tout. En ce début de semaine, la professeure a également dû réagir sur sa page Facebook face à d'autres attaques , certains internautes l'accusant d'avoir "pris la grosse tête " lorsqu'elle poste ses looks de prime. Une nouvelle accusation qui l'a poussée à se confier sur un souvenir particulièrement traumatisant.