« Jouer seule, c'est un tsunami ! » Mélanie Page
De passage aux Théâtrales d'Èze cet été avec la comédie romantico-poético-loufoque Je m'appelle Georges, Mélanie Page est revenue sur son "autre" projet, qu'elle a joué en parallèle à Avignon. Pour la première fois de sa carrière, la comédienne s'est lancé deux défis de taille : signer l'adaptation d'un texte autobiographique écrit par un homme (James Hindman) et camper un personnage, seule sur les planches. Transposée au féminin, l'histoire poignante qu'elle raconte incite chaque spectateur à s'interroger sur le sens même de sa propre existence. Alors qu'elle aborde des thèmes profonds comme la maladie, la cruauté dont est capable l'humain, les désirs inassouvis ou la conscience de la mort, son personnage - Stella - nous fait réaliser à quel point la vie mérite d'être vécue et chérie...
Du 19 au 24 septembre 2024 à Antibes au Théâtre Anthéa
interview n°1954
https://www.le-mensuel.com/melanie-page-en-interview-pour-son-spectacle-seul-en-scene-ce-qui-ne-nous-tue-pas/
De passage aux Théâtrales d'Èze cet été avec la comédie romantico-poético-loufoque Je m'appelle Georges, Mélanie Page est revenue sur son "autre" projet, qu'elle a joué en parallèle à Avignon. Pour la première fois de sa carrière, la comédienne s'est lancé deux défis de taille : signer l'adaptation d'un texte autobiographique écrit par un homme (James Hindman) et camper un personnage, seule sur les planches. Transposée au féminin, l'histoire poignante qu'elle raconte incite chaque spectateur à s'interroger sur le sens même de sa propre existence. Alors qu'elle aborde des thèmes profonds comme la maladie, la cruauté dont est capable l'humain, les désirs inassouvis ou la conscience de la mort, son personnage - Stella - nous fait réaliser à quel point la vie mérite d'être vécue et chérie...
Du 19 au 24 septembre 2024 à Antibes au Théâtre Anthéa
interview n°1954
https://www.le-mensuel.com/melanie-page-en-interview-pour-son-spectacle-seul-en-scene-ce-qui-ne-nous-tue-pas/