Alors que TF1 s’apprête à lancer la quinzième saison de Danse avec les stars, un nom inattendu a déjà retenu l’attention : celui de Stéphane Bern. À 62 ans, le visage emblématique du service public a accepté de fouler le parquet du concours animé par Camille Combal, provoquant quelques remous… jusque dans les couloirs de France Télévisions. Après la victoire de Lénie et Jordan Mouillerac en 2025, la prochaine édition promet déjà d’être riche en surprises ! Côté jury, TF1 mise sur la continuité avec Fauve Hautot, Mel Charlot, Chris Marques et Jean-Marc Généreux.
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Stéphane Bern se confie sur la surprise de ses employeurs
Le casting, lui, mêle profils sportifs, artistiques et médiatiques : Laure Manaudou, Angélique Angarni-Filopon (Miss France 2025), Ian Ziering, Julien Lieb, Emma (Star Academy)… et donc Stéphane Bern. Interrogé par Télé-Loisirs , l’animateur est revenu sur la façon dont son employeur historique a appris la nouvelle. "Ça les a peut-être un peu étonnés" , a-t-il reconnu. Soucieux de clarifier la situation, il a précisé : "J'ai dit que c'était une incursion de quelques semaines et que je vais continuer à faire mes émissions" . Une manière de rappeler qu’il reste pleinement investi dans Secrets d’histoire sur France 3.
Pour Stéphane Bern, cette participation n’a rien d’un transfert. "Je suis très attaché au service public et je ne pense pas qu'il y ait de concurrence avec ce que je fais" , a-t-il insisté. Au contraire, il y voit un effet bénéfique : "Pour mes émissions, ça va peut-être attirer un nouveau public. C'est plutôt une bonne chose. Ils vont me voir me débrouiller en danse. Ils vont se dire, tiens, il nous fait marrer celui-là, on va aller regarder ses émissions" . À l’instar d’autres animateurs venus d’horizons différents, Stéphane Bern a tenu à agir en toute transparence. "J'ai demandé l'avis de deux-trois personnes autour de moi, puis j'en ai simplement informé la direction ", a-t-il expliqué. Une annonce qui n’a pas laissé indifférent… "Ils ont été un peu étonnés. Ça a rué dans les brancards ! Ils m'ont dit : 'Mais vraiment ? Tu crois ? Mais c'est pas bien'", a-t-il révélé.
L'animateur défend son choix
Non lié par un contrat d’exclusivité, l’animateur a défendu son choix chiffres à l’appui : "Il y a un sondage de La Tribune Dimanche qui dit que je suis le deuxième visage le plus incarnant du service public, derrière Laurent Delahousse" . Et d’ajouter, malicieusement : "Au fond, m'avoir sur TF1 est beaucoup plus favorable à France Télévisions que l'inverse". Avant de conclure sur une note taquine : "En boutade, je leur ai dit que lorsqu'ils font une émission d'histoire, ils ne me demandent pas toujours mon avis et sollicitent d'autres personnes, si vous voyez à quoi je fais allusion" .