À Bangkok, le compte à rebours est lancé pour les 125 candidates de Miss Univers 2025… mais c’est en coulisses que le véritable séisme a éclaté ! À quelques heures seulement du couronnement, deux membres du jury ont annoncé leur départ soudain, plongeant l’organisation dans l’embarras. Attendu en Thaïlande pour évaluer les prétendantes, Claude Makélélé a finalement pris la parole sur Instagram pour annoncer son retrait.
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Un désistement de dernière minute
Une décision inattendue, formulée par le footballeur dans un message très solennel : "C'est avec regret que je dois vous annoncer que je ne pourrai pas assister à l'événement Miss Univers 2025 pour des raisons personnelles imprévues" . Il a poursuivi en soulignant le dilemme que représente ce renoncement : "C'était une décision difficile, car j'ai la plus haute estime pour Miss Univers. Cette plateforme représente l'émancipation, la diversité et l'excellence - des valeurs que j'ai toujours défendues tout au long de ma carrière" ."
Claude Makélélé, 52 ans, a également présenté ses "sincères excuses à l'organisation, aux concurrentes et à toutes les personnes concernées ", tout en espérant "pouvoir contribuer à l'avenir dans de meilleures circonstances" . Un retrait d’autant plus retentissant que sa présence avait été annoncée comme un atout fort du jury international. Mais la tempête ne s’arrête pas là ! Un autre juré, le Franco-Libanais Omar Harfouch, a lui aussi annoncé son retrait à la veille du concours.
Miss Univers 2025 sous haute tension
Sur ses réseaux sociaux, il accuse l’organisation d’avoir mis en place un jury parallèle. Une accusation grave puisqu'il a dénoncé une forme de tricherie. Le comité de Miss Univers a immédiatement répondu, réfutant toute irrégularité. Dans un communiqué officiel, l’organisation affirme "qu’aucun jury improvisé n’a été constitué" et assure que "le protocole sera respecté" . Pendant que les polémiques enflent, l’élection suit son cours… Diffusée en France dans la nuit de ce jeudi 20 au vendredi 21 novembre à partir de 2 heures sur Paris Première, elle permettra peut-être à la Française Ève Gilles de succéder à Victoria Kjær Theilvig.

