Benjamin Biolay et Michel Fugain ne sont pas prêts de passer leurs vacances ensemble. Depuis plusieurs années, les deux artistes se livrent une véritable passe d'armes. Tout commence en 2008 lorsque l'ancien leader du Big Bazar avait attaqué son homologue en le qualifiant notamment de " pire des petits cons ". Ce à quoi Benjamin Biolay avait répondu : " Quand tu te fais défoncer par Michel Fugain gratuitement, tu ne comprends pas pourquoi tu as mérité ça. "
Une passe d'armes continue entre Michel Fugain et Benjamin Biolay
En 2023, Michel Fugain avait remis une pièce dans la machine en estimant que le travail de certains artistes comme Julien Doré ou Benjamin Biolay relevait du " mercantilisme néfaste à la création ". L'attaque de trop pour celui qui vient de sortir son nouvel album Le Disque bleu : " Je ne sais pas à quoi il sert. Moi non plus je n’aime pas ce que tu fais monsieur Michel Fugain, mais je ne me sens pas obligé de te harceler par presse interposée depuis 2008. "
Ce lundi 13 octobre, Benjamin Biolay était présent sur le plateau d' En Aparté sur Canal+ . Au cours de l'entretien, Nathalie Levy a demandé à son invité si cela pouvait " être pesant parfois d'être comparé à Gainsbourg ? ". Dans sa réponse, l'artiste âgé de 52 ans en a profité pour glisser un tacle à son ennemi de toujours : " Pas du tout. Non, d'être comparé à Michel Fugain, ça doit être pesant, mais d'être comparé à Gainsbourg, c'est formidable, franchement. "
Le nouveau tacle de Benjamin Biolay
Benjamin Biolay se sent d'ailleurs davantage proche de Georges Brassens, comme il l'a confié dernièrement dans les colonnes de Télé 7 Jours : " Il est tout le temps avec moi. Ayant toujours eu de la famille à Sète, et y vivant désormais une partie de l’année, je le vois comme une sorte d’oncle. Dernièrement, je me suis rendu dans sa maison natale, où vit maintenant un de ses cousins, que je connais bien. Depuis cette maison, on voit la terrasse de ma tante, et je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer qu’il m’y avait peut-être vu jouer, petit. Idem à Paris : j’ai réalisé que je n’habitais qu’à une centaine de mètres de l’impasse Florimont, où il a vécu. Il y a une sorte d’attraction indéniable. Plus je côtoie ses proches, plus je m’aperçois que j’aurais adoré ce type, à la personnalité si incroyable. "